Conférence de Clotilde Simond, docteur en Cinéma et audiovisuel | Université de la Sorbonne Nouvelle

19 janvier 2016

Annonce :

Invitation – Mardi 19 janvier 2016 à 17h30, amphithéâtre 3110
Conférence publique de l’École d’architecture
Université de Montréal
2940, chemin de la côte Sainte-Catherine, amphithéâtre 3110
métro Université-de-Montréal
Entrée libre — pour info : 514-343-6007

Projeter l’architecture, projeter la ville. Objets filmiques en quête de construction.
Autour de la production filmique d’Alain Bublex.

Conférence de Clotilde Simond, docteur en Cinéma et audiovisuel de l’Université de la Sorbonne Nouvelle (Paris III), enseignante en Cinéma à l’Université de Paris III et de Metz.

Figure singulière de la scène artistique contemporaine, Alain Bublex n’a cessé de travailler à mi-chemin de l’architecture et de la photographie. C’est donc à partir d’une sensibilité à l’image fixe qu’il investit le cinéma. Quelle est la spécificité de ce regard photographique en cinéma ? Que signifie investir la construction architecturale en cinéaste ou le cinéma en constructeur ? Jouant sans cesse de l’ambiguïté des objets artistiques convoqués, Bublex joue sans cesse sur le réel et la fiction, le réel et le possible, le réel et le projet. En quel sens la production artistique de Bublex fait-elle projet ?

Clotilde Simond, docteur en Cinéma et audiovisuel de l’Université de la Sorbonne Nouvelle (Paris III), est membre du laboratoire de recherche des « Métiers de l’Histoire de l’Architecture, édifices-villes-territoires » de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Grenoble. Enseignante en Cinéma à l’université de Paris III et de Metz, ses travaux portent sur les rapports cinéma et philosophie, cinéma et autres arts, en particulier cinéma et architecture.

Elle a notamment publié :
In situ_de visu_in motu, Architecture, cinéma et arts technologiques, Nouveaux enjeux de la pensée des territoires contemporains, sous la dir. d’Irena Latek, Sophie Paviol, Clotilde Simond, Françoise Véry, Gollion, Infolio, 2014, 270 p.
Cinéma et architecture, La relève de l’art, avec la collaboration de Sophie Paviol, Lyon, Aléas, 2009, 280 p.
Esthétique et schizophrénie, à partir de Zabriskie Point de M. Antonioni, Au hasard Balthazar de R. Bresson et Family viewing d’A. Egoyan, Paris, L’Harmattan, Champs visuels, 2004, 301 p.

La conférence est présentée par l’École d’architecture et le laboratoire de recherche-création medialabAU avec l’appui du CRSH. Elle est organisée à l’occasion de l’exposition Intervalles présentée à la Cinémathèque québécoise jusqu’au 7 février.”

Pour visiter le site internet de l’École d’architecture de l’Université de Montréal…

Source : Agnès Anger, agente de communication | École d’architecture de l'Université de Montréal

Publié le 15 janvier 2016