Exposition « Habiter » d’Annie Fafard | L’architecture résidentielle dans l’identité des villes
23 janvier 2020
Communiqué de presse :
“L’exposition photo Habiter ou la place occupée par l’architecture résidentielle dans l’identité des villes par Annie Fafard, photographe
- Date : jeudi le 23 janvier 2020 de 17 h à 22 h
- Lieu : L’Archipel, 5333, avenue Casgrain, suite 909, Montréal
Montréal, Québec – 16 janvier 2020 – Pour le 4e événement de la série D’une île à l’autre, l’espace de création l’Archipel vous convie au dévoilement de l’exposition Habiter.
Arpenter les quartiers résidentiels de villes, à la découverte d’une atmosphère chaque fois unique. Éprouver une première impression, construite à coups de matériaux, de textures et de couleurs. Photographier une maison à la fois et bâtir une vue d’ensemble porteuse de sens.
Annie Fafard parcourt les villes à la recherche de résidences semblables dans leurs structures, leurs symétries, leurs matériaux, mais qui se différencient dans leurs détails: une couleur, une ornementation, un pilastre, une corniche. Les maisons, sorties de leur contexte, sont transposées dans des univers chromatiques d’où émerge une émotion qui évoque en filigrane leurs habitants. Il en résulte une collection d’images rappelant le portrait, mais où l’habitation devient sujet et la pluralité des fonds monochromes, enfin, tisse la toile identitaire de la ville.
Photographe montréalaise, Annie Fafard consacre sa pratique à l’architecture et au design. Ses projets artistiques explorent les relations entre l’architecture des villes et les sociétés qui les habitent. Comment l’environnement, l’histoire, la géographie influencent-ils nos conceptions de nos milieux de vie? C’est ce questionnement qui, en 2017, marqua le premier jalon d’une quête qui a mené l’artiste de San Francisco et ses maisons victoriennes aux couleurs apaisantes jusqu’à Fermont et son mur-écran, sa population isolée. Cette exposition présente le premier chapitre de ce travail, qui se prolongera suivant la rencontre des villes sillonnées par la photographe.”
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Publié le 18 janvier 2020