Actualité 21.02.2014

THÈSE – Marie Élizabeth Laberge – "Médiation de l'architecture par l'exposition et sa réception par des visiteurs experts et non experts"

Résumé de la thèse:

“À quels objets s’attarde le visiteur d’une exposition d’architecture : les dessins, maquettes, photographies? À quoi pense-t-il quand il s’intéresse à un objet? Quels sont les aspects du projet architectural qui l’intéressent? Le visiteur rencontre-t-il des obstacles dans son interprétation de l’exposition et, si oui, de quelle nature sont-ils? Est-ce qu’il y a des différences entre la visite d’un architecte et celle d’un non-architecte? Comment se manifestent ces différences?

La présente thèse permet d’obtenir de premières réponses empiriques aux questions posées. Elle s’intéresse à la médiation de l’architecture par l’exposition et à la réception qu’en font les visiteurs, architectes et non-architectes. Cette réflexion se rapporte à un questionnement plus général sur la meilleure manière de communiquer l’architecture à un vaste public.

Cette recherche a été menée par Marie Élizabeth Laberge dans les salles d’exposition du Centre canadien d’architecture (CCA) de Montréal au sein de l’exposition « Perspectives de vie à Londres et à Tokyo imaginées par Stephen Taylor et Ryue Nishizawa ». En plus de la collaboration essentielle du CCA, elle a bénéficié du support financier du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSHC) et du Fonds québécois de recherche sur la société et la culture (FQRSC).

Soutenue en  octobre 2012, cette thèse a été réalisée dans le cadre du doctorat international en muséologie, médiation et patrimoine offert conjointement par l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse (UAPV), sous la direction de Tamara Lemerise  (UQAM) et Hana Gottesdiener (UAPV).”

Pour consulter la thèse de Marie Élizabeth Laberge…

(Source: Marie Élizabeth Laberge)

(Photo: Perspectives de vie à Londres et à Tokyo imaginées par Stephen Taylor et Ryue Nishizawa, vue d’une installation au CCA où figure le travail de Stephen Taylor (2008). © CCA, Montréal)