L’ÉTS et Desjardins propulsent l’économie circulaire dans le secteur de la construction
Extrait du communiqué de presse :
“Montréal, le 18 août 2021 – L’équipe du Centre d’études et de recherches intersectorielles en économie circulaire (CERIEC) de l’École de technologie supérieure (ÉTS) est heureuse d’annoncer le début des activités de son premier laboratoire d’accélération. Ce laboratoire permettra de co-identifier avec les parties prenantes les blocages à la circularité de ressources ciblées dans le secteur de la construction au Québec, puis de cocréer par des projets d’expérimentation innovants les solutions visant à intégrer et généraliser des stratégies d’économie circulaire dans ce secteur.
L’initiative est rendue possible grâce à une contribution de 2,1 millions $ sur cinq ans de Desjardins, partenaire majeur de l’écosystème de laboratoires d’accélération en économie circulaire (ELEC), dont ce premier laboratoire fait partie.
La construction : un secteur prioritaire de l’économie à circulariser
Important secteur de l’économie québécoise (7,7 % du PIB) et grand générateur de matières résiduelles hétérogènes, le secteur de la construction est le candidat idéal pour ce premier laboratoire d’accélération en économie circulaire.
Sur une période de trois ans, des acteurs clés de la chaine de valeur de la construction et des chercheurs de différentes disciplines travailleront sur les défis et les besoins de ce secteur dans sa transition vers l’économie circulaire.
L’objectif est d’accroître la productivité des ressources à toutes les étapes du cycle de vie afin de réduire le recours aux ressources vierges dans la construction et la rénovation des bâtiments et de tendre vers le zéro déchet.
Des impacts concrets pour le secteur du bâtiment au Québec
Ce laboratoire d’accélération sur la construction mettra en place des projets d’expérimentation avec pour objectifs de rendre plus responsables, plus durables et plus circulaires les produits ainsi que les pratiques de l’industrie. Il soutiendra également la maturation ou la création de nouvelles entreprises pour valoriser les technologies et connaissances générées. Cela représentera de nouvelles opportunités entrepreneuriales et de nouveaux maillages au sein de l’écosystème d’acteurs.
La démarche permettra aussi de développer des moyens supplémentaires d’atteindre de manière innovante les objectifs de réduction de GES et réduire les impacts environnementaux de cette industrie.”
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