“Voici enfin venu le temps de vous impliquer pour notre cause. Dans le cadre de l’évènement bénéfice Montréal Passion Photo, une exposition du célèbre photographe Bernard Brault de La Presse se déroulera à l’Hôtel Delta (475 Président-Kennedy) du 20 avril 2009 au 16 mai 2009 sur le thème des joueurs des Canadiens de Montréal.
Les amateurs de hockey pourront admirer les plus belles photos de Bernard Brault prises des quatres dernières décennies: de Maurice «Le Rocket» Richard à Guy Lafleur, en passant par Patrick Roy et son retour jusqu’à Alex Kovalev. Bernard Brault cumule plus d’une trentaine d’années d’expérience et constitue un spécialiste de la photographie de sports. Son talent pour saisir l’émotion et l’action à travers ses photos lui a permis de recevoir de nombreux prix et mentions durant toute sa carrière (plus de 200 répartis sur 4 continents!). En 2007, il reçoit notamment le prix du Photographe Canadien de l’année en plus du prix de la meilleure photographie au Canada décerné par l’Association des photographes de presse du Canada (NPAC).
Mis sur pied par des gens d’affaires qui partagent la passion de la photographie, Montréal Passion Photo est organisé en faveur de la Fondation de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Les photos présentées lors de l’exposition seront mises en vente et les profits seront investis dans la construction du Centre d’excellence en thérapie cellulaire de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Mettant à profit le potentiel curatif des cellules souches, la thérapie cellulaire représente la médecine de l’avenir. Déjà, les médecins et chercheurs de l’HMR réalisent des avancées spectaculaires dans le traitement des cancers du sang, ce qui leur a conféré une expertise inégalée au Canada ainsi que la reconnaissance de la communauté scientifique internationale. Avec ce nouveau complexe, Montréal comptera un centre de recherche de classe mondiale qui permettra de développer à fond l’immense potentiel des cellules souches et sauver les personnes atteintes de cancers et d’autres maladies encore aujourd’hui incurables.”
(Source: Michel St-Jean, Pasquin St-Jean)