Deirdre Ellis réélue en tant qu’administratrice régionale pour le Québec
De la part de l’IRAC :
“L’IRAC a le plaisir d’annoncer que Deirdre Ellis, MRAIC, sera présentée à l’assemblée générale annuelle de l’IRAC de 2024 aux fins de son élection.
Dans ses mots :
Je me suis joint à NFOE architecture en 2010 et nommée associée en 2018. Je suis un enfant du monde, ayant vécu et voyagé à travers 5 des 7 continents. J’ai commencé ma carrière en Jamaïque, j’ai passé du temps à Ottawa et je suis retourné à Montréal en 2010. Le fait d’être témoin de l’impact des ouragans, des tempêtes de verglas, des vagues de chaleur et des pannes de courant m’a convaincu que l’architecture joue un rôle important pour répondre aux préoccupations pressantes de notre époque, notamment les changements climatiques, la gérance de l’environnement, la santé humaine et la justice sociale.
Je suis directrice régionale pour le Québec depuis décembre 2021. Au cours des deux dernières années, j’ai eu le privilège de partager avec nos collègues de partout au pays les défis propres au contexte québécois. Mes objectifs pour les trois prochaines années sont les suivants :
- De connecter les architectes francophones (et ceux qui parlent français !) à travers le Canada, en veillant à ce que l’IRAC bonifie ses opérations en français, et de travailler avec le personnel de l’IRAC et les membres existants pour améliorer la visibilité de l’organisme au Québec.
- Aider à façonner et à définir davantage ce que représente l’IRAC et la meilleure approche de se faire la voix de l’architecture canadienne et mieux défendre les intérêts des architectes.
- Continuer à soutenir la diversité au sein de l’IRAC et de la profession d’architecte pour mieux refléter la composition de notre société en encourageant non seulement la prochaine génération d’architectes, mais aussi la prochaine génération de nos clients.
- Continuer d’être une alliée dans le travail de réconciliation, en reconnaissant l’impact de l’architecture dans la colonisation, mais aussi en soutenant la contribution des connaissances autochtones dans la résolution des problèmes de changement climatique et de justice sociale.”