Série « En l’absence de… faux départs » | Mur Trombe, bloc de béton au soufre et fantômes du passé
Annonce :
“Cette semaine, nous continuons notre série En l’absence de… avec un volet qui traite des histoires incomplètes. Pour reprendre le fil, vous pouvez consulter l’amorce de la série par Rafico Ruiz, ainsi que les textes à propos des omissions d’histoires équitables, de partenaires méconnaissables et de vérités quotidiennes dans les registres historiques.
Dans le volet d’aujourd’hui, Paul Bouet réfléchit au mur Trombe, dont l’omission des origines coloniales dans les archives « lui a ainsi permis d’acquérir une signification complètement différente – voire contradictoire – dans la période postcoloniale. »
Christina Shivers jette un autre regard sur les blocs de béton au souffre développés par le Minimum Cost Housing Group (MCHG) de l’Université McGill. Bien que ses intentions, écrit-elle, « étaient louables, les notions mêmes de reproductibilité et d’extensibilité n’ont pas pris en considération le savoir avéré des communautés que le MCHG souhaitait précisément servir. »
Puis, Thomas Hill se remémore Le revenant de l’utopie : le postmodernisme revisité, afin de réfléchir à notre relation contemporaine aux « fantômes du passé – les idéologies non réalisées, les aspirations collectives et les utopies imaginées des époques précédentes – qui hantent le moment présent. »”
Pour visiter le site internet du Centre Canadien d’Architecture…