Actualité 05.10.2018

La construction à l’ère du numérique | « Nouvelle chaire de recherche industrielle pour le professeur Daniel Forgues »

École de technologie supérieure

Première rangée : Stéphane Coudry (groupe TEQ), Claire Samson (ÉTS), Pierre Dumouchel (ÉTS), Jean Rochette (Ville de Québec), Daniel Forgues (ÉTS), Martin Jacques (Pomerleau), Anik Mandalian (Provencher Roy), Souha Tahrani (Aedifica) Deuxième rangée : Franck Murat (BIMOne), Samer Jarmak (Groupe TEQ), Louis Tremblay (Ville de Québec), Karine Duguay (CIMA+), Simon Leclerc Granger (Groupe TEQ), Yassine Ben Jemaa (Groupe TEQ), Daniel Barbeau (Canam), Sébastien Frénette (Provencher Roy), Jean-François Lapointe (BIMOne), Mathieu St-Gelais (TBC)

Extrait du communiqué de presse :

24 septembre 2018

L’ÉTS inaugurait la semaine dernière la nouvelle Chaire de recherche industrielle sur l’intégration des technologies numériques en construction, héritière de la réputée Chaire de recherche industrielle Pomerleau. Le professeur Daniel Forgues et son équipe, ainsi que de nombreux collaborateurs et partenaires de la nouvelle chaire, ont profité de l’occasion pour retracer le chemin parcouru en très peu de temps par l’industrie de la construction et évoquer les grandes transformations qui l’attendent.

La fierté du travail accompli
La chaire Pomerleau, dont le mandat a pris fin en décembre dernier, a réussi à mobiliser des leaders au sein de l’industrie de la construction afin que celle-ci prenne conscience d’une chose : elle était en retard et risquait de rater le virage numérique. On peut facilement imaginer les conséquences d’une telle négligence pour un secteur qui représente plus de 40 G $ d’investissements annuellement et compte plus de 400 000 emplois directs et indirects. On peut également imaginer les répercussions sur l’ensemble de la société québécoise.

Trois lettres qui en disent long
Le virage que l’industrie est en train de prendre peut se résumer à trois lettres : BIM. Le Building Information Modeling est une méthode de construction fondée sur l’utilisation d’un modèle informatique à plusieurs dimensions. Cette approche permet de documenter la conception d’un bâtiment, mais aussi de simuler sa performance, sa construction et son exploitation. L’un des grands avantages du BIM est qu’il rend possible la collaboration directe de tous les intervenants : clients, architectes, ingénieurs, entrepreneurs, spécialistes en gestion des actifs, etc.”

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Source : Clémence Webster-Marcil | Responsable des communications | Ædifica